Et si on inversait les rôles ?!

Trans: les questions stupides à ne pas poser

J'ai adoré la façon humoristique et mordante de répondre à ces questions. Voyez plutôt:

Quels ciseaux ?

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Autant les grands couturiers sont en général gays, autant les grand coiffeurs sont en général hétéros (du moins semble-t-il).
Qu'en pensez-vous ? Êtes-vous d'accord ? Voyez-vous une explication ?

P.S.: une publication par mois, quel rythme !!!

10 bonnes questions à poser aux hétéros

Salut, ça faisait longtemps, n'est-ce pas ?
Voici quelque chose que j'ai trouvé intéressant sur VeryFriendly.fr:

Les 10 bonnes questions à poser aux hétéros !
Ce sont des questions qui ont un grand écho chez les transpédébigouines... Et si l'on retournait ces questions aux hétéros ? Retourner les choses, c'est prendre un autre point de vue, réfléchir sur soi et sur les autres, prendre conscience des différences et des débats qui en sont l'enjeu... Alors, vos réponses ???

- D’où pensez-vous que puisse provenir votre hétérosexualité ?
- Quand et dans quelles circonstances avez-vous décidé d’être hétérosexuel ?
- Se peut-il que votre hétérosexualité ne soit qu’une phase difficile et troublante à passer ?
- Se peut-il que vous soyez hétérosexuel parce que vous craignez les personnes du même sexe ?
- Si vous n’avez jamais couché avec un partenaire du même sexe, comment savez-vous que vous ne préféreriez pas cela ? Se peut-il qu’il vous faille une bonne expérience homosexuelle ?
- A qui avez-vous avoué votre hétérosexualité ? Comment ont-ils réagi ?
- L’hétérosexualité ne dérange pas tant qu’on ne fait pas étalage de ses sentiments. Pourquoi toujours parler d’hétérosexualité ? Pourquoi tout centrer là-dessus ? Pourquoi donc les hétérosexuels font-ils toujours un spectacle de leur sexualité ? Pourquoi ne peuvent-ils pas vivre sans s’exhiber en public ?
- La grande majorité des agressions sexuelles sur les enfants sont dues à des hétérosexuels. Croyez vous que votre enfant soit en sécurité en présence d’hétérosexuels ? Dans la classe d’un professeur hétérosexuel en particulier ?
- Plus de la moitié des couples hétérosexuels qui se marient cette année divorceront dans les trois ans. Pourquoi les relations hétérosexuelles sont-elles toujours vouées à l’échec ?
- Devant la vie malheureuse que mènent les hétérosexuels, pouvez-vous souhaiter à votre enfant d’être hétérosexuel ? Songeriez-vous à envoyer votre enfant chez le psychologue s’il venait à avoir des tendances hétérosexuelles ? Seriez-vous prêt à faire intervenir un médecin ? A lui faire entreprendre une thérapie suivie pour qu’il change ?

Bien trouvé, tout ça, vous ne pensez pas ?

Juste une question

Pensez-vous qu'un chef d'entreprise gay préfèrera embaucher, à compétences égales, un homo pas beau, ou un bel hétéro ?

Paresse

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J'ai bien un sujet d'article depuis quelques temps, mais j'ai un peu la flemme de m'y mettre, d'autant que ça demande un peu de recherche si je ne veux pas dire n'importe quoi.
Un sujet que je n'ai encore jamais abordé dans ce blog.
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L'Homme est un Concept

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Je lis souvent ce blog: L'Homme est un Concept. J'y ai trouvé aujourd'hui 2 articles que je trouve géniaux: celui-ci, et surtout celui-là.
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Sexe à ... peel

On peut se demander parois ce qui nous attire (physiquement) chez quelqu'un. On a parfois des préférences (poilu ou non, brun ou blond, grand ou petit), mais je pense qu'une donnée essentielle dans "l'appeal": LA PEAU.

En fait, je devrais plutôt parler d'essence (dans le sens essence d'arbre) de l'individu, qui se traduit par un aspect particulier de la peau.

Celle-ci peut être claire ou matte, transparente ou non, poilue ou non, lisse ou très grainée, etc...

Cette peau, elle a bien-sûr une odeur, et très certainement diffuse-t-elle ces fameuses phéromones qui nous attirent ou ont, à l'inverse, un effet répulsif.

Ainsi, chacun a ses goûts en matière de peau (et heureusement, tous les goûts sont dans la nature, ce qui laisse sa chance à chacun), et il me semble que cet aspect est plus important dans la séduction que les détails physiques généralement décrits (à part peut-être la silhouette générale).

Et je ne parle pas là de beauté. Car il m'arrive parfois d'admettre qu'un tel est beau, mais il ne m'attire pas plus que ça, en raison (entre autres) de sa peau: ou trop fine, ou trop pâle, ou trop "chair de poule", ...

Voilà! Pour ma part, je l'aime un peu matte, avec un petit grain, pas trop lisse (quoique!). Le poil, c'est secondaire. Mais ce n'est là qu'un de mes goûts. Des peaux très différentes peuvent avoir chacune son charme.

Et vous, qu'en pensez-vous ? Quelle est votre préférence ?

Le gay-detector

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De quoi s'agit-il ? C'est le néologisme qu'utilise Didou pour désigner ce qu'on appelle chez nous "le gaydar".
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Didou me demande: "Comment vous faites, vous les garçons, pour savoir qu'un autre garçon est gay... Parce que faire des avances à tous les beaux mecs au risque de se prendre au mieux une veste, au pire, un poing dans la figure, c'est risqué non ?"

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C'est sûr, le risque est réel. Mais, parrait-il, nous sommes équipés de ce "gay-détector" qui nous permet d'identifier nos homo...logues.

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Enfin parfois.

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En fait, j'ai déjà expliqué dans un article précédent que nous percevons probablement inconsciemment les phéromones propres aux homos. Sinon, qu'est-ce qui expliquerait qu'un jour je croise un mec n'ayant aucun indice extérieur de gaytitude, et pourtant, simultanément, nous nous retournons l'un sur l'autre ?

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Mais je pense aussi que certains indices à peine perceptibles touchent notre inconscient. Un regard, une démarche, un petit pincement des muscles faciaux, bref, des choses que nous percevons plus que nous voyons.

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Toutefois, avec le temps, j'ai l'impression que cette faculté ne nous permet d'identifier que la partie visible de l'iceberg. Je m'explique. Les gays les plus "visibles", ce sont les "folles". Mais ça, il n'est pas besoin d'être homo pour le voir. C'est d'ailleurs sur cette catégorie d'homos que bon nombre d'hétéros se font l'idée de ce que sont les gays. Ils n'ont donc qu'une vue très stéréotypée et restreinte du sujet.

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Il y a des gays qui sont beaucoup moins "visibles", mais que nous, homos, nous percevons tout de même. Mais je suis de plus en plus convaincu qu'il y en a beaucoup d'entre nous que nous classerions à tord parmi les hétéros. Je ne parle pas uniquement des "bears". Je parle plutôt des mecs ... j'allais dire "comme vous et moi"! Des mecs MECS, qui ne laissent rien paraître de leur orientation sexuelle. Non pas qu'ils la cachent, mais ils n'ont aucune manifestation particulièrement féminine dans leurs gestes, leur démarche, leur comportement.

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D'un côté, c'est une chance pour eux, à mes yeux, car il correspondent à l'idéal que je me fais d'un mec, aussi gay soit-il.

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D'un autre côté, ça rend peut-être leur coming-out plus difficile. Car lorsque ça 'crève les yeux', l'officialisation n'est qu'une formalité. Alors que quand c'est invisible, on a le poids de l'image que se font les autres de nous. Et là, on peut avoir peur de décevoir, d'être incompris, rejeté, etc... D'autre part, ça rend les rencontres beaucoup moins faciles.

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Tout ça pour dire que j'ai de moins en moins confiance en mon gaydar, ou mon gay-detector, appelez-le comme vous voulez.

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Et vous, pensez-vous identifier facilement les homos ? TOUS les homos ?

Une histoire de l’hétérosexualité triomphante

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J'ai trouvé chez "L'homme est un concept" cet article intéressant, au sujet d'un ouvrage qui doit donc l'être également.
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Le CHOIX d'être une FILLE ?

Avant d'aborder le 'sujet imposé' par Didou, sujet qu'elle appelle "le gay-detector" (merci Didou, que deviendrais-je sans toi?), je voudrais revenir sur une info qui n'est plus très fraîche, puisqu'elle date du début du mois.

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Il s'agit des réactions suscitées par les propos du pédopsychiatre Marcel Rufo dans l'émission « Le mieux c'est d'en parler » diffusée dimanche 25 janvier sur France 3. Vous pouvez la retrouver via le site GayClic.

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Ce qui a achoppé, c'est que Marcel Rufo a parlé de CHOIX de l'homosexualité. Je suis donc tout à fait d'accord avec les réactions à ce discours, car on ne peut parler de choix, tout comme les hétéros n'ont pas choisi de l'être. Mais ça , j'en ai déjà parlé.

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Donc, le bon Marcel, sous cette avalanche de messages contestataires, s'est volontiers repris sur ce mot. Cependant, sa réponse n'est guère plus satisfaisante. Elle est rapportée également dans cet article de Gayclic.

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J'avais jusqu'ici une certaine estime pour ce pédopsychiatre (ce qui veut dire pshychiatre des enfants; pas des pédés!!!) qui s'exprime fréquemment sur différentes ondes. Mais là, je dois dire qu'il n'a pas tout compris! Il est plutôt à côté de la plaque !

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Je site: "Quand je dis "choix", c'est dans le développement de l'enfant, la découverte petit à petit que celui-ci se préfère en tant que fille (par exemple, pour les garçons et réciproquement pour les filles), et que, petit à petit, il porte son affection, puis plus tard, ses sentiments amoureux sur la personne du même sexe."

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Eh bien je suis désolé, mais je ne me suis JAMAIS préféré ni même vu en tant que fille ! J'ai beau être 'pédé comme un phoque', je me sens mec, et pour rien au monde je ne voudrais perdre mes bijoux de famille ni même revêtir l'apparence d'une femme (sauf en drag-queen, pour s'amuser, mais ça s'est tout autre chose!).

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Je crois que notre Marcel a une vision quelque peu restrictive de l'homosexualité. Peut être la voit-il uniquement à travers son oncle, car, dit-il, il a eu "la chance d'avoir un oncle qui avait justement ce positionnement" (Comme s'est joliment dit!). Seulement, tout comme il y a une 'foultitude' d'hétérosexualités, il y en a autant d'homosexualités. Peut-être même plus, d'ailleurs, car si les hétéros sont "mono-phasés", nous sommes "bi-phasés" (comprendra qui voudra), ce qui double à peu près les possibilités.

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Ceci m'amène à une réflexion que je me suis déjà faite. Lors des différentes gay-prides, sont réunis en fait les LBGT (lesbiens, gays, bisexuels, et trans). C'est, je pense, une bonne chose, car comme on dit, l'union fait la force. Il s'agit en fait d'un regroupement de "minorités sexuelles".

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Mais ce n'est pas pour autant que je m'identifie aux transsexuels. Je les respecte comme chaque être humain, je peux très bien m'amuser en leur compagnie qui peut être très agréable, voire ludique, mais je ne suis pas, personnellement, transsexuel, loin de là! Et là non plus, ce n'est pas un choix (ni de ma part, ni de la leur), c'est un fait.

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Allez, Marcel, il va falloir étudier un peu plus le sujet si tu veux garder ta crédibilité, ou alors t'abstenir désormais d'aborder le sujet !!!

Les réactions à cette émission ICI

Plus important que le sexe des anges ...

... la question qui se pose est: TINTIN EST-IL GAY ?

OUI, à en croire cet article du Times. Bon, OK, c'est en Anglish !

Alors voici ce qu'en dit Yahoo!-Actualités.

Bon, je dirais que c'est un peu tiré par les cheveux (en particulier la houpette!), mais je dois avouer que c'est tout de même un peu troublant.

Et mon Loup d'ajouter (à juste titre) que si Tintin est gay, ça veut dire que son auteur (Hergé) pourrait ne pas l'être moins.

GayClic donnait également son commentaire (ICI). Il cite en conclusion la remarque d'un psy: « Je le rappelle, l'homosexualité, c'est le choix d'une pratique sexuelle explicite »... Comme le dit GayClic, "En voilà une bien belle définition de l'homosexualité !!! AAARRRRGGGHHHH..."

Je confirme: AAARRRRGGGHHHH...

Et vous, que pensez-vous de tout ça ?

A moins que ...

Merci Ephélide !

Petits détails sexy

Voici certains détails que je trouve sexy chez un homme. Je ne parle pas de détails physiques sur lesquels on ne peut rien (ou presque), comme un beau fessier rebondi, par exemple. Non, je parle de petits détails qui existent de par la volonté de celui qui les porte.

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• Un beau crâne rasé quand c'est sur une belle tête qui s'y prête (harmonieuse et un peu en rondeurs). Peut-être à cause de l'aspect phallique (surtout si le monsieur est en col roulé).
  

• Une barbichette ligne-verticale (à la Cyril lignac).

• Des souliers pointus qui relèvent légèrement sur l'avant.
  

Ces détails attirent immanquablement mon regard.
Et vous, quels sont les détails qui vous attirent ?

Pink

Un peu de sérieux: La chanteuse Pink a osé dire les choses en face du Président USAïn. Je vous laisse voir:

Retour de (mini)vacances

Pour faire suite à mon article précédent, nous sommes bien allés faire un tour à Paris, mais en raison d’une météo déplorable, nous n’avons pas poursuivi par Saint-Malo.

Passage obligé, dans Paris : c’est le Marais. Personnellement, j’aime vraiment m’y promener. Je m’y sens comme chez moi, même si certains ‘spécimens’ ne présentent pas spécialement une image positive de la communauté gay (je vais y revenir).

Par contre, nous avons constaté que le vivier de beaux mecs à Paris se trouve ailleurs. Où ça ? Aux Galeries Lafayette. Autant du côté de la clientèle que des vendeurs. Pour ces derniers, c’est sûr, l’esthétique doit jouer énormément dans leur embauche. Et il y en a partout : rayon parfumerie, rayon hommes,… Je crois que ce lieu deviendra pour nous un passage obligé lors de nos visites à Paris.

Pour en revenir au Marais, il y a une mode que je trouve grotesque. Rassurez-vous (ou plutôt non : hélas !), on en a aussi dans nos contrées provinciales. De quelle mode parlés-je ? Le port du sac à main (pour les mecs, j’entend). Et qui plus est, lorsqu’il est porté à la « Paris Hilton », c’est à dire croché sur l’avant-bras, lui-même formant un angle entre 20° et 90° avec le reste du corps. Je trouve déjà cette posture ridicule en ce qui concerne les minettes, mais pour les mecs (heu ! peut-on dire mec ?), c’est absolument RI-DI-CULE !

Le sac, en lui-même : ça va du gros sac en cuir noir (y a quoi dedans, des clés à molette ?) au petit sac argenté dans lequel on peut glisser une serviette hygiénique (pardon, je m’égare) 2 capotes, 1 dose de gel et un téléphone portable, guère plus.

J’ai du mal à comprendre ce besoin de ressembler ainsi aux filles. Moi, ce que j’aime, c’est le look d’homme. Donc je veux lui ressembler, à ce look. Après, on peut avoir différents styles de looks d’homme, plus ou moins bruts, plus ou moins soignés. Je ne suis même pas contre un léger maquillage, du moment qu’il reste masculin. Mais là, ce ridicule sac à main ! Non, là, je ne peux pas.

Et vous ? Qu’en pensez-vous ?

Encore Tagué !

Non mais; vous croyez que j'ai que ça à faire, suivre les chaine de tag qu'on m'envoie ?!?!
Franchement, c'est le genre de trucs que je déteste (même sui j'y ai déjà sacrifié). Donc je ne le refilerais à personne, n'ayant ici aucun ennemi.
Voilà donc le tag que De sanqui m'a envoyé. Pour ce qui est du règlement, il peut compter sur moi pourappliquer le Pt N°4.

Le règlement de la chaîne :
1) Tu recopies le présent règlement avant de t'exécuter
2) Tu réponds à toutes les questions de la chaîne, franchement et sans esquive.
3) Tu publies la chaîne en mettant en lien le billet de celui/celle qui te l'a refilée.
4) Tu joues au sorcier vaudou avec la poupée de celui/celle qui est visé(e) en 3).
5) Tu choisis au moins 5 nouvelles victimes pour répondre à la chaîne et ... la répandre. Évidemment, tu glisses un commentaire sur leur blog pour les avertir de la funeste mission qui est la leur.

Alors voilà,
C'était quoi ton dernier coup de ...
- folie : Heu... ça commence bien! Je ne dois pas être assez fou!
- théâtre : Il y a 5 ans, quand j'ai annoncé à ma femme que j'étais homo. Sinon, pour le théâtre, le vrai, ça fait bien trop longtemps: il y a 28 ans. Une passion que j'ai -hélas- étouffée.
- blues : fort heureusement, ça fait maintenant un p'tit moment. Peut-être plus d'un ans.
- pouce : Heu...! Ben là, je dis "Pouce!".
- gueule : lors de la dernière réunion mensuelle, au boulot, envers mon chef qui se contente de reporter sur nous les engueulades qu'il reçoit de ses supérieurs, sans même savoir de quoi il retourne, sans nous écouter, et encore moins nous défendre.
- chance : a chaque fois que je trouve une place pour me garer dans ma petite rue. Mon Loup me dit à chaque fois: "T'as une chance de cocu!". Après tout, c'est lui le mieux placé pour me dire ça. lol
- reins : J'vous en pose, des questions ? Bande de p'tits curieux !
- frein : Ben tous les jours, heureusement, quand on conduit ... (ben oui, j'avais rien à répondre)
- essai : En ce moment: j'essaie péniblement de répondre à ce fichu tag.
- fatigue : Ce matin. J'ai sorti le chien à 9h15 (au lieu de 8h30), petit déj; puis recouché avec mon Loup. Puis lever presque à midi.
- main : Mardi dernier, un petit coup de main pour monter une commode et une armoire (bisous Ephélide!).
- balai : dans mon répertoire téléphonique, il y a peu. J'ai enlevé tous les "amis" qui m'ont laissé tomber quand j'ai fait mon coming-out.
- coeur : 2 petits fauteuils pour le salon TV
- queue : De billard ? Oh ! Ça fait très longtemps!

Et pour la patate chaude, je vous l'ai dit: par compassion, je ne la passerais à personne.
Et pour ceux qui auraient l'idée de m'en envoyer un autre, ils se prêtent au risque de représailles en guise de non-recevoir. Qu'on se le dise !

Le Poilu

Ben dites-donc! Il en faut peu pour vous émouvoir! Juste un titre, et vous vous emballez. Je sais quoi faire dorénavant pour avoir quelques coms. Je devais supprimer l'annonce, mais rien que pour vos commentaires, je la laisse.
Le problème, c'est qu'en titillant votre imagination, celle-ci s'emballe, et mon article risque de vous sembler fade au regard de vos phantasmes.
Tant-pis; voici mon article:

Je voulais en effet vous parler de celui que Mon Loup et moi appelons "Le Poilu".
Non non, il ne s'agit pas d'un vétéran de la 1ère guerre mondiale; je crois qu'ils ont tous "fermé leur parapluie", ou peu s'en faut.
Non, il s'agit d'un garçon (entre 30 et 40 ans, je pense) qui a une belle pilosité générale, et en particulier sur le torse. Comment le savons-nous, demanderez-vous? J'y viens.

Ce charmant jeune homme (ça y est, j'entends les moins de 30 ans s'esclaffer) habite un studio en rez-de-chaussée. Et son mini-appartement est situé face à la mer (Eh oui, pour ceux qui ne sauraient pas, Le Havre — près de mon terrier — est en bordure de mer). Seules une avenue et la plage le séparent donc de la Manche (c'est le nom de la mer, ici, juste histoire de vous culturer un peu).

Et figurez-vous que, contrairement à une idée reçue, ici, en Normandie (je continue ma leçon de géographie), le soleil sait montrer ses rayons qui réchauffent, et la peau, et la lib.. heu! le coeur.

Il se trouve que ce bellâtre (je vous raconterais plus loin) aime beaucoup le soleil, et en particulier lui exposer sa toison d'ébène. Ainsi, dès que l'astre pointe le bout de son nez, il ouvre en grand sa fenêtre, torse nu, et s'y installe, tantôt seul, tantôt accompagné, pour siroter quelque breuvage. Le rebord de sa fenêtre constitue donc un banc sur lequel il s'expose très fréquemment.

A présent, voici sa description physique: CE QU'IL EST BEAU, CE MEC !!!
Poilu, donc, mais un poil bien planté, qu'on imagine soyeux (même s'il l'a récemment raccourci), d'un beau brun foncé qui ressort sur sa peau hâlée (ben oui, à force de se faire chatouiller par le soleil sur la fenêtre !!!).

Pas un poil... de graisse, par-contre! Musclé juste comme il faut: ni trop, ni trop peu.
Passons au chef - je veux dire à la tête (il ne ressemble pas du-tout de visage à l'illustration de cet article ci-dessus). Crâne rasé ou tondu très court. Et ça lui va très bien (il y a des têtes à ça). Visage très agréable, SAUF... Eh oui,il y a un petit hic, qui est peut-être là pour rassurer tous ceux qui n'ont pas les mêmes atouts physiques. Le HIC ? Son nez ! Il donne l'impression que quelqu'un lui a appuyé dessus avec son doigt, et que son appendice nasal en a gardé la forme. Dommage! A sa place, je crois que je m'offrirais une petite opération (quoiqu'on dit ça ...!) car vraiment c'est la seule chose qui gâche le tableau.

Mais de loin, ou en passant au rythme de la circulation, "ça le fait" quand même !

Mais puisqu'on le connaît à présent un peu plus, vous voudriez certainement en savoir un peu plus sur sa vie ... intime. Bande de petits voyeurs !!! Moi y compris. Je vous disait ci-dessus qu'il était parfois accompagné à sa fenêtre. Garçons ? Filles ? Eh bien les deux! Mais apparemment personne d'officiel.

Et je peux même vous en dire un peu plus (c'est là que je vais faire ma commère). Il se trouve que nous avons vendu une voiture à ses parents. Et lors de cette transaction, ils on eu l'amabilité de nous offrir un verre. Les langues se délient toujours davantage lorsqu'elles sont humectées d'alcool. Ils en sont donc venus à nous parler de leur fils. Faisant allusion à son studio sur la plage, nous avons vite fait le rapprochement. Et la maman de nous expliquer qu'à l'âge où en est le garçon (je ne me souviens plus combien), elle ne s'attend plus à avoir de petits enfants. Cet âge n'étant tout de même pas canonique, nous subodorons que l'animal est "du bâtiment", des nôtres, quoi! Ou alors il touche aux deux tableaux. Je sais, Didou, on ne devrait pas se poser ce genre de question; ça regarde chacun personnellement. Mais nous, les gays, nous avons tellement dû construire notre personnalité autour de notre "particularité" que nous aimons distinguer nos alter-égos dans notre paysage.

Et puis, ça renforce le phantasme!

Donc si vous passez un jour sur le boulevard de la plage au Havre, en montant vers Sainte-Adresse, jetez un petit coup d'oeil en haut de la côte sur votre droite. Avec un peu de chance et un beau rayon de soleil, vous le verrez peut-être !?


Voilà, j'espère que cet article ne vous auras pas déçu. Quoiqu'il en soit, il aura eu le mérite de faire travailler votre imagination avant de paraître.

Pierre Palmade - Regard lucide sur sa gaytitude

En consultant le blog "GayClic", j'ai trouvé cet extrait d'interview paru dans Paris-Match. Je trouve qu'il exprime bien comment on peut ressentir son homosexualité lorsqu'elle va à l'encontre de ce qu'on vous a enseigné. Ça se rapproche assez de ce que je ressentais jusqu'à une certaine époque, et rares sont les homos qui expriment aussi franchement de tels sentiments ambigus. En voici donc un extrait:

Propos recueillis par Ghislain Loustalot.
G.L : Au lycée vous sortiez avec des filles, mais vous étiez déjà attiré par les garçons. Comment avez-vous composé avec cette ambiguïté ?

P.P : J’ai vécu mon homosexualité comme une maladie. Dit par un hétéro, cela pourrait être mal pris, je le sais, mais j’assume, moi j’ai le droit.
G.L : Mais être homosexuel n’est pas une maladie !

P.P : Evidemment, mais je l’ai pensé longtemps, jusqu’à l’âge de 35 ans. Je commence petit à petit à envisager d’être ami avec mon homosexualité. Aujourd’hui encore il m’arrive de très mal le vivre et parfois je donnerais tout pour être hétéro. Quand je me regarde dans un miroir, je me dis que je suis un homme qui est fait pour protéger une femme, pour la faire rêver et je ne me vois pas être l’amant d’un autre homme, je ne me reconnais pas dans cela. Pourtant mon corps est électrisé par un beau mec, je suis sexuellement attiré par les hommes donc je suis foncièrement homosexuel. Mon personnage le dit dans la pièce : j’ai le sentiment d’être un homo dans le corps d’un hétéro. C’est étrange. Et complexe. Beaucoup plus que de dire, à propos de mon mariage avec Véronique, que je tentais de me cacher vis-à-vis du public, que c’était un problème d’image. Non, c’était entre moi et moi. Je l’aimais et en même temps je pouvais me dire, intimement, qu’il y avait une erreur. Une erreur de la nature qui me tombait dessus.

La suite ICI.

Fesse look

Toujours dans le cadre de mon travail, aujourd'hui je me suis "rincé l'oeil" d'une manière un peu différente d'hier.

Je me trouvais à proximité de ces grosses armoires réfrigérantes dans lesquelles on trouve le jambon (vous allez voir, il y a un rapport) et autres charcuteries.

Et là, il y avait 2 techniciens qui s'escrimaient à réparer cet engin. Un mignon était donc carrément monté dessus, mais d'où j'étais, pas grand chose à voir.

L'autre, par-contre (pas moche non plus, consommable, dirais-je), s'occupait de la basse.

Et pour cela, il devait adopter une position très certainement inconfortable. A genou par-terre, il devait s'aplatir et se cambrer au maximum pour accéder par en-dessous.

Or il se trouve que de par sa position, son tee-shirt était remonté, et son pantalon bleu-de-travail tirait vers le bas. On ne voyait aucun sous vêtement déborder (contrairement à la mode). Si bien qu'un superbe début de raie apparaissait au public (en l'occurrence: moi).

Vous me direz: "Il ne faut pas grand chose pour t'émoustiller!". Mais sous l'effort, ses muscles fessiers étaient tellement tendus que véritablement une superbe fente se dessinait, entre les 2 galbes prêts à exploser.

Ça me donne l'occasion de parler de cette mode actuelle de montrer ses formes arrières en laissant tomber le pantalon à mi-fesse (voire bas-fesse, parfois).

Un de mes amis me disait: "C'est absolument ridicule!". Peut-être, mais il est hétéro, lui. Je crois qu'il ne voit pas les strings des minettes de la même façon.

Verso de photo changé

Personnellement, je ne peux pas porter mes pantalons de la sorte. Question de génération, peut-être. Mais j'avoue que c'est parfois agréable à regarder. Je dis parfois, car tout dépend du sujet porteur de la chose. En dehors de cette mode, c'est souvent les gars gras et peu soigneux de leur personne qui laissent dépasser cette crevasse au vu de tous. Mais alors (à moins d'avoir des goûts particuliers), c'est pas très ragoûtant. Il n'y a rien de plus grotesque et de plus grossier qu'une raie grasse étriquée dans un vieux froc.

Et il en va de même de la mode boxer-à-l'air: le spectacle n'est pas toujours des plus alléchants.

Par-contre, il arrive qu'un beau petit fessier aguicheur montre le bout de son ... pli. Et là, bien sûr, mes yeux se baladent. C'est pas de ma faute; je n'arrive pas à les tenir.

Et vous, que pensez-vous de cette tendance ?

Régal des yeux

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Aujourd'hui, au boulot, je me suis régalé les yeux.

Ma profession m'amène à fréquenter régulièrement les "grandes surfaces". Et cet après-midi, j'ai aperçu un choupinet vraiment craquant (mieux encore que ci-dessus).

C'est très probablement un petit étudiant en train d'emménager dans son studio pour l'année scolaire, et il est venu faire ses courses avec maman, histoire de remplir les placards de tout ce qu'il faut (pâtes, PQ, yaourts, etc...)

Une petite frimousse à croquer, des yeux superbes, un peu comme ceux que je vous montrais ici, mais en marron, et un p'tit cuuul !!! Cambré comme il faut.

Bref, tout plein mimi.

Et il a eu la bonne idée de 'stationner' près de l'endroit où je me trouvais et d'aller et venir avec ses courses pour les déposer dans son caddie.

Si bien que j'avais tout le loisir de le regarder (plus ou moins discrètement) sous tous les angles. Un régal ! Peut-être a-t-il fini par s'en rendre compte, mais ça n'a rien changé à son comportement: indifférent. Sauf qu'un moment j'ai cru le voir rougir. (Illusion de l'espoir ?)

Mon loup dit parfois que je drague souvent, et que je vais un jour me prendre une mandale. Erreur ! Je ne drague pas; j'aime regarder les belles "choses", et en particulier les beaux mecs.

Je dis toujours: "Il n'y a pas de mal à se faire plaisir à regarder ce qui est beau, tant qu'on n'y touche pas." Pour parodier une phrase d'un célèbre présentateur: "regarder n'est pas tromper".

Et vous, qu'en pensez-vous ?